Dictionnaire : Kerrouz (carrière de)

Kerrouz (carrière de)

 

Carrière de gneiss, roche métamorphique utilisée pour la fabrication de granulats, située en extrémité de la route venant de Tréodet, en bordure de l’Odet et à la sortie du site du Stangala.

 

Retour


Dictionnaire : Kergourlay (Jérôme)

Kergourlay (Jérôme) 1737 - 1809

 

Kergourlay (Jérôme), maire d'Ergué Gabéric de 1791 à 1795. Nommé le 14 mai 1791. Il prêta le serment de « haine à la royauté ».
 
Jérôme Kergourlay était cultivateur à Squividan, il est né le 4 décembre 1737 de Pierre Kergourlay et de Louise Gourmelen.
En 1768 il épouse Hélaine Mahé, il décède le 15 mai 1809 à Squividan.

 

Retour


Dictionnaire : Kerdévot (Chapelle de)

Kerdévot (Chapelle de)

 

La chapelle Notre-Dame de Kerdévot est construite à partir de 1470.
Il s'agit d'un édifice essentiellement de style gothique flamboyant.

Première mention dans le testament de Jean Le Moyne qui fait don... Son édification et la popularité de son Pardon sont liés à son origine légendaire. Peste d'Elliant.

30 mètres de large et 13 mètres de haut : ces dimensions impressionnantes pour une chapelle rurale lui valent le surnom de "cathédrale de campagne".
 

Retour


Dictionnaire : Kenec'h Deniel

Kenec'h Deniel

 
Nom de lieu près de Boharzh, siège d'une ancienne exploitation agricole.
Kenec'h Deniel dont la plus ancienne mention date de 1460, signifie la colline de Daniel.
 

Retour


Dictionnaire : Kannadig Intron Varia Kerzevot

Kannadig Intron Varia Kerzevot (1926-1939)

 

Le bulletin paroissial d'Ergué-Gabéric a paru de novembre 1926 à août 1939.

Ce mensuel de 24 pages portait le nom de "Kannadig Intron Varia Kerzevot", le bulletin de Notre Dame de Kerdevot.
Il était sous la responsabilité éditoriale du recteur Louis Pennec.

En fait seules trois pages étaient écrites par le clergé local. Le reste n'était que des reprises de la Semaine religieuse ou de Feiz ha Breiz, les deux journaux de l'évêché.
A partir de mars 1934, toutes les pages intérieures sont nationales et n'ont plus d'intérêt local.

Le Kannadig accordait une large place à la langue bretonne à ses débuts, une place qui s'amenuise a partir des années trente.

Il est riche de nombreux contes, de nombreuses chansons et de dictons. La plupart sont des emprunts à "Feiz ha Breiz".
 

Retour